L’étiopathie complémentaire de la médecine allopathique

L’étiopathie thérapie manuelle ayant pris sont essor dans la seconde moitié du XXeme siècle a longtemps été perçue à tort comme une thérapeutique en opposition avec la médecine allopathique.

Un article publié dans « acte côté Toulouse » met en évidence l’importante complémentarité des traitements effectués par les étiopathes et les soins dispensés dans les structures médicales conventionnelles.

Cette association thérapeutique est essentiellement motivée par deux faits :
– La diminution drastique du nombre de praticiens médecins, infirmiers, kinésithérapeute dans un premier dans les campagne et aujourd’hui dans les zones urbaines. En effet les besoins en soins médicaux de la population française vieillissante augmente, alors que le numérus clausus en première année des études de santé stagne et que le nombre de praticiens exerçant en libéral diminue.

– L’étiopathie est une thérapie rigoureuse dont le mode d’action est exclusivement manuel et mécanique : domaine d’action délaissé lors des études de médecine. Les étudiants étiopathes sont formés de façon scientifique et exhaustive conduisant ainsi la corps étiopathique à un niveau de compétence élevée en adéquation avec une collaboration saine et efficace avec la médecine allopathique.

Les étiopathes, véritables mécaniciens du corps humain, sont tous diplômés à l’issue d’une formation de six années, dispensée dans les quatre facultés d’étiopathie françaises. Au terme de cette formation, les futurs étiopathes mettent à l’épreuve leur formation théorique et pratique avec une première expérience professionnelle en contact direct avec des patients par le biais d’un exercice dans les cliniques d’étiopathie rattachées aux centres de formation.